CNCCCSOEC
Normes et Interprétations  /  Lettres de commentaires  /  Réponse de l’EFRAG à la consultation de l’IASB sur son agenda


Réponse de l’EFRAG à la consultation de l’IASB sur son agenda


Le 19 janvier 2016, l’EFRAG a publié sa réponse à la consultation de l’IASB sur son agenda

La principale priorité est de finaliser le projet « contrats d’assurance », de réviser le cadre conceptuel et de progresser sur les projets « informations à fournir » et « gestion du risque dynamique (macro-couverture) ».

L’EFRAG salue l’approche de normalisation, fondée sur des faits, mais estime que l’IASB devrait mieux expliquer la façon dont les priorités sont déterminées et les objectifs poursuivis par chaque projet de recherche. Une classification de ces projets serait utile.

L’EFRAG estime que les cinq projets suivants sont prioritaires : instruments financiers avec des caractéristiques de capitaux propres, taux d’actualisation, méthode de la mise en équivalence, états financiers primaires, goodwill et dépréciation.

L’EFRAG souligne l’importance des revues post-application pour aider à identifier ce qui fonctionne et ce qui est à améliorer dans la pratique courante. Les revues devraient être étendues au-delà des normes récemment publiées.

L’EFRAG estime que pour ses travaux de recherche, l’IASB devrait s’appuyer sur le travail substantiel de l’EFRAG et des autres normalisateurs régionaux et nationaux.

L’EFRAG approuve les activités de maintenance de l’IASB, mais estime que l’IASB devrait trouver un équilibre approprié pour la stabilité des préparateurs et des utilisateurs.

Pour télécharger la réponse de l’EFRAG  (en anglais)

Pour télécharger la synthèse des retours recueillis par l'EFRAG  sur projet de lettre de commentaires, exposant la façon dont ces commentaires ont été pris en compte par l’EFRAG lors de la finalisation de sa lettre de commentaires à l’IASB.

Pour se connecter au  site internet  de l’EFRAG

Actualités

Zoom sur l'actu des IFRS
Haut de page
Imprimer
La Lettre trimestrielle

Cliquez ici si vous n'avez pas Adobe Reader.

L'Academie

Dipac